Traiter la crise d'angoisse pendant le confinement à Paris 20ème grâce à la psychothérapie au téléphone
A Paris, le 07/04/2020
La crise sanitaire actuelle est source d'inquiétude et engage des modifications dans nos modes de vie. Cette hyper-vigilance, que nous nous imposons et qui permet de protéger nos santés n'est pas naturelle et implique des restrictions au quotidien qui peuvent entraîner des frustrations.
Ces changements ainsi que les incertitudes sur l'avenir peuvent entraîner une détresse psychologique et amener à un état d'angoisse difficilement gérable seul(e).
L'angoisse, lorsqu'on l'éprouve, peut nous envahir car c'est un affect intense. Souvent nous n'en comprenons ni la cause, ni le sens. En ouvrant le dictionnaire, nous trouvons cette définition : « Malaise psychique et physique, né du sentiment de l'imminence d'un danger, caractérisé par une crainte diffuse pouvant aller de l'inquiétude à la panique et par des sensations pénibles de constriction épigastrique ou laryngée (gorge serrée). »1. Nous voyons ici, deux types d'angoisse, « la crainte diffuse » et « la panique ».
Cette dernière est ce que nous nommons communément la crise d'angoisse ou crise de panique. Les symptômes agissent avec force, parfois sans s'y attendre, et se ressentent physiquement : maux de ventre ou de tête, tachycardie ressentie ou réelle, tremblements, vertiges, nausées, sentiment d'étouffer souvent accompagné d'une impression de mort imminente.
Décider de rencontrer un psychothérapeute au téléphone à Paris 20ème peut aider à ne plus vivre au crochet de l'angoisse et de vivre une existence plus apaisée.
La CPP (Consultation Publique de psychanalyse) a mis en place depuis 1997 la possibilité de recourir à un suivi psychothérapeutique dont le tarif est adapté aux moyens financiers des patients. Ces consultations sont dispensées par les cliniciens de l'école du RPH (Réseau pour la Psychanalyse à l'Hôpital) qui assurent par ailleurs un service d'écoute d'urgence, le SETU? 24H/24 et 7j/7, pour toute personne qui se sent en détresse.
1Petit Robert, 2014.